Bovins de boucherie La demande reste peu soutenue
Si la restauration est épargnée par les nouvelles restrictions pour lutter contre la Covid-19, les commandes de viande bovine restent peu soutenues. Les abatteurs demeurent chargés en catégoriel tandis que le minerai bénéficie d’une demande régulière pour approvisionner la restauration rapide.
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La demande en vaches laitières de réforme se rétracte à l’approche des vacances de la Toussaint. Les prix des bonnes vaches se maintiennent entre 2,80 et 2,90 €. Sur les animaux classés en notes d’engraissement 1 et 2, la pression reste forte.
En femelles allaitantes, les tarifs demeurent relativement stables, mais la tension commerciale s’accentue sur les marchés. L’offre reste suffisante face à la demande. Les vaches blondes d’Aquitaine lourdes se négocient entre 4,80 et 5,20 €. Les plus légères, de 400/450 kg, se valorisent entre 4,20 et 4,60 €.
Les tarifs des vaches limousines U se maintiennent entre 4,30 et 4,60 €. Les prix des charolaises R+/U- restent stables autour de 4,10 €. Le commerce se montre plus compliqué du côté des charolaises R où des écarts de valorisation sont observés entre 3,90 et 4,00 € entre les abatteurs. Les vaches maigres subissent, quant à elles, une baisse assez sévère.
Sur le marché du jeune bovin, la situation reste morose et sans solution à court terme. Sur le marché de Cholet, les charolais se commercialisent de 3,60 à 3,65 €.
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